Ce sont certainement les associations féministes qui vont se tirer les cheveux. Hier, la Cour suprême a mis en liberté d’office Souleymane Sidy Seck. Le fils de Cheikh Yerim Seck a été sauvé par l’article 187 du code de procédure pénale.
Selon la chambre criminelle de la haute juridiction, la chambre d’accusation a eu tort de se prononcer hors délai sur la mise en liberté provisoire du garçon, renseigne Les Echos.
Pour mémoire, en juin dernier, l’affaire Souleymane Sidy Seck avait soulevé et provoqué l’ire des associations féministes. Le fils de Cheikh Yerim était accusé de viol par une fille de 15 ans. Ce que le jeune garçon de 19 ans avait totalement nié. Après près de 9 mois de détention, Souleymane est mis en liberté d’office par la chambre criminelle de Cour Suprême.